Ballets de Village et Sérénade

de Joseph de Boismortier

Ballets de Village et Sérénade
Le Concert Spirituel, direction Hervé Niquet
enregistrement discographique paru chez Naxos

Quatre Ballets de Village, opus 52
Première Sérénade ou Première Simphonie françoise, opus 39
Cinquième Gentillesse, opus 45

Couverture : Antoine C. d’après Hyacinthe Rigaud (1659-1743) :
Portrait du Président Gaspard de Gueidan en joueur de musette (Aix-en-Provence, Musée Granet)

© 1997 HNH International Ltd
Une coproduction HNH / Région Lorraine

Premier ballet, Op. 52

01. Premier ballet, Op. 52 (08:56)

Cinquième gentillesse, Op. 45

02. Gaiement    (02:22)
03. Gracieusement    (01:42)
04. Gaiement    (02:42)

Deuxième ballet, Op. 52

05. Deuxième ballet, Op. 52 (08:57)

Première sérénade ou Simphonie françoise, Op. 39

06. Ouverture    (03:24)
07. Entrée rustique    (01:14)
08. Air gracieux    (01:44)
09. Gavotte en rondeau    (00:51)
10. Chœur imaginaire    (03:05)
11. Rigaudon et deuxième rigaudon    (01:27)
12. Rondeau    (01:54)
13. Menuet et deuxième menuet    (01:56)
14. Gavotte    (00:49)
15. Sarabande    (01:55)
16. Air vif    (01:09)
17. Air modéré    (01:47)
18. Gigue    (01:13)
19. Villageoise et deuxième villageoise    (01:47)
20. Musette    (01:57)
21. Les révérences nuptiales    (01:47)
22. Loure    (01:05)
23. Chaconne    (04:11)

Troisième ballet, Op. 52

24. Troisième ballet, Op. 52 (07:45)

Quatrième ballet, Op. 52

25. Quatrième ballet, Op. 52 (09:03)

Diapason, février 1998

“ Des partitions avant tout divertissantes mais habillement conçues, que le Concert Spirituel réactive avec un certain sens de la fête, du galbe chorégraphique... ”

Jean-Luc Macia

Le Monde de la Musique, février 1998

“ Niquet et son ensemble se laissement emporter par une fougue un peu rustique, emplie de gaité et de joie. Un clavecin tonitruant, des violons joyeux et ce son si original de la vielle et de la musette ne pourront laisser insensible. (...) on se lèverait presque pour aller danser ! ”

Alain Steghens

Le Républicain Lorrain, Lundi 10 novembre 1997

“ En écoutant cette musique, l’on s’imaginait aisément à une de ces fêtes pastorales, virevoltant, à en perdre la tête jusqu’à épuisement. ”

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